Suivez les aventures complètement folles de Serge, un journaliste moraliste et bourreau de travail, Paolo, un photographe aussi jovial qu'inconscient, et Claude, un typographe suisse froussard qui s'improvise cinéaste. Ces 3 compères se retrouvent en Afghanistan juste après l'intervention américaine. Un documentaire extraordinaire, authentique, drôle, qui fait un bien fou. De plus, ce film est un parfait exemple, qui montre que les documentaires ont leur place dans les salles de cinéma.

Séance du mardi 19 novembre : Claude Baechtold sera présent afin de présenter son film.

Tahar Rahim y est, for me, formidable...comme ils disent. De sûr, on l'verrait déjà, tenir le prochain César. Il ne nous emmène pas au pays des merveilles, mais incarne parfaitement ce grand artiste qui malgré tous les reproches et les injures, se retrouve en haut de l'affiche et ses emmerdes. Un biopic, plus qu'une bohème, et pourtant...

Culte du corps, dictature de la jeunesse et vampirisation. Jusqu’à l’extrême, la fable horrifique explose tous les diktats de la beauté. Un brillant film de body horror, satirique, passionnant et aux effets visuels saisissants.
À savoir que « The Substance » a gagné le prix du meilleur scénario au Festival de Cannes.

Tahar Rahim y est, for me, formidable...comme ils disent. De sûr, on l'verrait déjà, tenir le prochain César. Il ne nous emmène pas au pays des merveilles, mais incarne parfaitement ce grand artiste qui malgré tous les reproches et les injures, se retrouve en haut de l'affiche et ses emmerdes. Un biopic, plus qu'une bohème, et pourtant...

Le nouveau Lelouch est arrivé et que les fans se rassurent, c'est une très bonne cuvée que nous offre le réalisateur qui a passé sa vie à raconter la vie. Une comédie pour certains, un peu fantastique pour d'autres, un brin politique pour quelques uns, mais pour Claude Lelouch, c'est avant tout une comédie musicale. Finalement, faites vous-même votre avis en allant le voir.

Véritable plaidoyer pour l’inclusion, le film est avant tout le portrait d’une mère, devenant soudainement seule, et pourtant accompagnée dans la gestion de son enfant. Audrey Lamy, touchante dans ses moments de découragement et grandiose dans sa manière de tenir tête avec colère, à une maîtresse qui ne semble pas saisir l’enjeu d’autonomie future ou, d’affronter un père qui s’est toujours intéressé plus à ses chats qu’aux autres. Pédagogique et efficace, cette comédie dramatique a le mérite de poser les difficultés pour une mère d’élever un enfant different et l’espoir mis en une impossible inclusion de celui-ci dans la société, et cela, tout en parvenant à maintenir un équilibre entre drame intime et comédie.

Véritable plaidoyer pour l’inclusion, le film est avant tout le portrait d’une mère, devenant soudainement seule, et pourtant accompagnée dans la gestion de son enfant. Audrey Lamy, touchante dans ses moments de découragement et grandiose dans sa manière de tenir tête avec colère, à une maîtresse qui ne semble pas saisir l’enjeu d’autonomie future ou, d’affronter un père qui s’est toujours intéressé plus à ses chats qu’aux autres. Pédagogique et efficace, cette comédie dramatique a le mérite de poser les difficultés pour une mère d’élever un enfant different et l’espoir mis en une impossible inclusion de celui-ci dans la société, et cela, tout en parvenant à maintenir un équilibre entre drame intime et comédie.

Clint Eastwood revient au sommet de son art avec une mise en scène ciselée, précise et fluide, ce Juré #2 plonge dans les fissures de la justice au fond du fossé de la culpabilité. À travers une simple question d'ordre morale, Eastwood sème le doute sur la justice sans manichéisme et sur les conséquences qui en découlent. Une réussite totale.

Le nouveau Lelouch est arrivé et que les fans se rassurent, c'est une très bonne cuvée que nous offre le réalisateur qui a passé sa vie à raconter la vie. Une comédie pour certains, un peu fantastique pour d'autres, un brin politique pour quelques uns, mais pour Claude Lelouch, c'est avant tout une comédie musicale. Finalement, faites vous-même votre avis en allant le voir.

Clint Eastwood revient au sommet de son art avec une mise en scène ciselée, précise et fluide, ce Juré #2 plonge dans les fissures de la justice au fond du fossé de la culpabilité. À travers une simple question d'ordre morale, Eastwood sème le doute sur la justice sans manichéisme et sur les conséquences qui en découlent. Une réussite totale.

Le nouveau Lelouch est arrivé et que les fans se rassurent, c'est une très bonne cuvée que nous offre le réalisateur qui a passé sa vie à raconter la vie. Une comédie pour certains, un peu fantastique pour d'autres, un brin politique pour quelques uns, mais pour Claude Lelouch, c'est avant tout une comédie musicale. Finalement, faites vous-même votre avis en allant le voir.

Clint Eastwood revient au sommet de son art avec une mise en scène ciselée, précise et fluide, ce Juré #2 plonge dans les fissures de la justice au fond du fossé de la culpabilité. À travers une simple question d'ordre morale, Eastwood sème le doute sur la justice sans manichéisme et sur les conséquences qui en découlent. Une réussite totale.

 En présence de la cinéaste Pauline Jeanbourquin pour la présentation de son film.  

Véritable plaidoyer pour l’inclusion, le film est avant tout le portrait d’une mère, devenant soudainement seule, et pourtant accompagnée dans la gestion de son enfant. Audrey Lamy, touchante dans ses moments de découragement et grandiose dans sa manière de tenir tête avec colère, à une maîtresse qui ne semble pas saisir l’enjeu d’autonomie future ou, d’affronter un père qui s’est toujours intéressé plus à ses chats qu’aux autres. Pédagogique et efficace, cette comédie dramatique a le mérite de poser les difficultés pour une mère d’élever un enfant different et l’espoir mis en une impossible inclusion de celui-ci dans la société, et cela, tout en parvenant à maintenir un équilibre entre drame intime et comédie.

Clint Eastwood revient au sommet de son art avec une mise en scène ciselée, précise et fluide, ce Juré #2 plonge dans les fissures de la justice au fond du fossé de la culpabilité. À travers une simple question d'ordre morale, Eastwood sème le doute sur la justice sans manichéisme et sur les conséquences qui en découlent. Une réussite totale.

Véritable plaidoyer pour l’inclusion, le film est avant tout le portrait d’une mère, devenant soudainement seule, et pourtant accompagnée dans la gestion de son enfant. Audrey Lamy, touchante dans ses moments de découragement et grandiose dans sa manière de tenir tête avec colère, à une maîtresse qui ne semble pas saisir l’enjeu d’autonomie future ou, d’affronter un père qui s’est toujours intéressé plus à ses chats qu’aux autres. Pédagogique et efficace, cette comédie dramatique a le mérite de poser les difficultés pour une mère d’élever un enfant different et l’espoir mis en une impossible inclusion de celui-ci dans la société, et cela, tout en parvenant à maintenir un équilibre entre drame intime et comédie.