The Substance
Ancienne vedette de cinéma, Elisabeth, quinqua, anime une émission de fitness style Jane Fonda, quand son chef la licencie. Il veut la remplacer par une femme plus jeune et plus attirante. Une solution à ce problème existe. Il s’agit d’un liquide appelé The Substance qui promet de créer un sosie plus jeune, plus beau et plus parfait. Seule condition : partager le temps avec son alter ego. Une semaine pour l’une, une semaine pour l’autre, un équilibre parfait de sept jours. Si cette règle est respectée scrupuleusement, on ne risque rien à essayer, non ? Après son premier film de fiction « Revenge », la réalisatrice française Coralie Fargeat raconte à nouveau dans « The Substance » l’histoire d’une femme poussée dans ses derniers retranchements par les exigences d’une société patriarcale. Cette fois-ci elle traite du thème de la discrimination liée à l’âge dans l’industrie du divertissement.
Dimanche | 24 novembre | 17:00 | EN ST: FR DE | Sans entracte |
Culte du corps, dictature de la jeunesse et vampirisation. Jusqu’à l’extrême, la fable horrifique explose tous les diktats de la beauté. Un brillant film de body horror, satirique, passionnant et aux effets visuels saisissants.
À savoir que « The Substance » a gagné le prix du meilleur scénario au Festival de Cannes.
Ancienne vedette de cinéma, Elisabeth, quinqua, anime une émission de fitness style Jane Fonda, quand son chef la licencie. Il veut la remplacer par une femme plus jeune et plus attirante. Une solution à ce problème existe. Il s’agit d’un liquide appelé The Substance qui promet de créer un sosie plus jeune, plus beau et plus parfait. Seule condition : partager le temps avec son alter ego. Une semaine pour l’une, une semaine pour l’autre, un équilibre parfait de sept jours. Si cette règle est respectée scrupuleusement, on ne risque rien à essayer, non ? Après son premier film de fiction « Revenge », la réalisatrice française Coralie Fargeat raconte à nouveau dans « The Substance » l’histoire d’une femme poussée dans ses derniers retranchements par les exigences d’une société patriarcale. Cette fois-ci elle traite du thème de la discrimination liée à l’âge dans l’industrie du divertissement.