Crettaz, et comme l'espérance est violente
Bon pied, bon œil et bonne mémoire. À 80 ans, Bernard Crettaz, le verbe fervent, jamais dénué d’humour, nous a accueillis les bras ouverts et nous a promenés le long des chemins de traverse de sa vie. C’est l’histoire d’un fils de paysan devenu sociologue/ethnologue.
En créant les cafés mortels, Bernard Crettaz a fait de la mort et des rites mortuaires l’œuvre de sa vie. On l’a surnommé « Monsieur Mort ».
Vendredi | 10 novembre | 20:30 | F | Avec entracte |
En présence de Béatrice et Nasser Bakhti
Bon pied, bon œil et bonne mémoire. À 80 ans, Bernard Crettaz, le verbe fervent, jamais dénué d’humour, nous a accueillis les bras ouverts et nous a promenés le long des chemins de traverse de sa vie. C’est l’histoire d’un fils de paysan devenu sociologue/ethnologue.
En créant les cafés mortels, Bernard Crettaz a fait de la mort et des rites mortuaires l’œuvre de sa vie. On l’a surnommé « Monsieur Mort ».